Elèves

Au cours de l’année, un groupe d’élèves de 4A a écrit, conçu les personnages d’un roman dystopique nommé : ANTILOV.

Angoulême, dans le futur. Suite à un événement catastrophique, le monde a été transformé à jamais. Plus de sentiments, plus d’émotion superflue. Les gens vivent comme des robots, contrôlés par une police qui n’est plus humaine.

Surveillés, contrôlés en permanence par une puce implantée dans leur cou, les citoyens sont privés de liberté. Mais un jour, Camille, une jeune adolescente, va vivre un traumatisme qui va lui faire remettre tout en question. Dès cet instant, elle va lutter pour retrouver son identité.

Suspense, aventures, amour. Venez pénétrer dans l’univers ANTILOV. Vous ne serez plus jamais les mêmes…

Le livre numérique est disponible en suivant ce lien :

https://read.bookcreator.com/wqtEvf49ZMYe02hDhSisZmHr03p2/91yf8UfdQJmugwPvr5QTQg/Z11kAK4DS2SNjie_zRPSBA

Voici les photos du premier salon du livre Alfred Renoleau durant lequel ils ont fait une lecture publique devant différentes classes, suivie d’un jeu sur Kahott pour gagner des clés USB avec des versions audios et pdf de leur livre.

Bravo à ces élèves, à leur engagement, à l’appui de leurs professeurs et que vive longtemps la résistance littéraire face à l’oppression !

Article et photos : M.R.

La poésie, le slam, cela se lit, se déclame ! Alors, Simon a appris aux élèves de 5C à faire vivre leur texte, à faire vibrer leurs mots, leurs rimes.

Proposer un atelier Slam aux élèves comporte des intérêts pédagogiques certains.

D’abord, ancrer le travail sur l’écriture et la poésie dans l’époque contemporaine, dans le monde dans lequel vivent les élèves, avec des sujets librement choisis a permis à chacun de renouveler son intérêt pour l’écriture.

Ensuite, le travail d’interprétation a amené l’élève à se mettre en scène et à prendre conscience de sa voix et de ses gestes. Le regard toujours positif de Simon porté sur chaque prestation a représenté un véritable encouragement à oser et à se dépasser. Parce que la réussite consiste à essayer, chaque élève a tenté son passage oral et s’ est aperçu alors qu’il était en mesure d’entrer dans le langage poétique.

Cet atelier de 6 heures a permis de réconcilier une grande partie des élèves avec l’écriture et l’expression.
Cela a été vécu comme un moment différent et très positif , comme en témoignent les ressentis ci-dessous .

« Parler de soi, c’était évident d’aborder ce qu’on connaît »
« Ce qu’on ne dit jamais, on l’écrit »
« J’ai été surprise par ce que j’ai écrit, je me suis découverte, je ne pensais pas que je pensais ça »
« Simon Marc incite à écrire »
« On a cet outil là pour se défouler, se réaliser »

Article – photos : N. C. – S. B.